<p>Daniel BALAVOINE</p>

Publié : 30 avril 2021 à 15h33 par La rédaction

DKL DREYECKLAND

Ses chan­sons ont traversé les dernières décen­nies sans prendre une ride, et feront partie à jamais du réper­toire clas­sique de la musique française. On l'aimait pour son talent, sa sincé­rité, sa sensi­bi­lité et son grand altruisme. Daniel Bala­voine a marqué tous les c�?urs des français, et a brillé durant sa trop courte vie d'une aura hors du commun.



 Né en février 1952, Daniel Bala­voine se découvre très jeune un grand inté­rêt pour la musique. Il inter­rompt ses études dès le lycée pour s'y consa­crer plei­ne­ment. Il monte à Paris à 19 ans et entame sa carrière au sein du groupe Présence. Malgré l'échec de ce premier contrat, Daniel Bala­voine ne s'avoue pas vaincu. Après des années à être choriste pour diffé­rents chan­teurs, il est embau­ché par Michel Berger, qui est alors à la recherche d'un inter­prète pour le rôle de Johnny Rock­fort, rôle prin­ci­pal de la comé­die musi­cale Star­ma­nia.



Fort de l'incroyable succès de Star­ma­nia, Daniel Bala­voine en profite pour sortir son premier album solo Le Chan­teur. Sa carrière est lancée, l'album est reçu avec un incroyable enthou­siasme. Celui-ci fera d'ailleurs de l'ombre aux albums qui suivront.



En 1980 sort l'album Un autre Monde, empli de tubes qui devien­dront des clas­siques du réper­toire de Bala­voine tels que Je ne suis pas un héros ou La vie ne m'apprend rien.



Toujours très présent sur la scène poli­tique, et après avoir soutenu Coluche et Mitter­rand à l"élec­tion prési­den­tielle, Daniel Bala­voine donne le 22 octobre 1980 un concert au profit d'Amnesty Inter­na­tio­nal.



Passionné d'auto­mo­bile, Daniel Bala­voine se lance en 1983 dans le Paris-Dakar. Il y découvre l'Afrique et la famine, et revien­dra bous­culé par ce voyage. Il se lance alors dans l'album Loin des yeux